réflexion
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X, Y, Z… L’alphabet des générations
Ah les différences entre les générations ! On a pas fini d’en parler n’est-ce pas ? Voici qu’au début de la semaine, je suis tombée sur ce texte d’opinion paru dans La Presse qui parlait de nous, la génération X. Parce que vraiment, à force d’entendre parler des Boomers qui ont réinventé le monde à leur époque d’un côté, et des Milléniaux qui de l’autre, si l’on devait en croire tout ce qu’on dit à leur sujet, seraient rien de moins que la réincarnation de l’illumination divine (après eux le déluge n’est-ce pas?), c’est à croire que nous, les X, nous serions rien de moins qu’un mythe. Et que très…
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La quarantaine, le nouveau trente ?
Comme un poisson qui saute hors de l’eau de son bocal le temps de quelques secondes, histoire d’appréhender ces mondes qui lui échappent, je n’ai pu résister à l’envie irrépressible de sortir de ma pause ce matin… Ayant été comme interpellée par un article qui m’a semblé des plus intéressants. Et sur lequel j’ai eu envie de réagir à chaud ! Car très clairement, ce n’est pas parce que j’ai décidé de faire une pause de mon blogue que je me suis soudainement faite ermite, comme si j’avais du coup renoncé à laisser vagabonder ma curiosité là où l’envie la porte ! Bref ! Ce matin, je suis tombée sur cet…
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La fin ? Un nouveau début? Je dis ça, je dis rien !
Est-ce vraiment la fin ? Ou simplement le début d’un nouveau cycle ? Je serais bien en peine de le dire. La vérité c’est que je suis ces temps-ci à chercher ce qui pourrait s’apparenter au plus infime début de réponse à ces questionnements qui ne sont peut-être pas, un peu paradoxalement, destinés à en trouver. Simples questions qui se suffisent à elles-mêmes. L’incapacité d’apporter des réponses étant peut-être en elle-même tout juste cela… Une réponse.
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L’amitié comme un scénario de sciences fiction
«J’ai consulté mon téléphone: je n’avais aucun message. C’est à cela que servent les téléphones portables, à se rendre compte que personne ne pense à vous. Avant, on pouvait toujours rêver que quelqu’un cherchait à vous joindre, à vous parler, à vous aimer. Nous vivons maintenant avec cet objet qui matérialise notre solitude…» (-David Foenkinos, La tête de l’emploi) Ce weekend, je suis tombée sur un article qui m’a donné à réfléchir sur nos relations interpersonnelles modernes… Mais, la première question qui s’est immédiatement imposée à mon esprit, je l’avoue, c’est de me demander si vraiment, ça existait encore ce genre de relation. Vous savez ? Des gens avec qui…
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La charge mentale comme un saut dans le vide ou la solitude des héroïnes
On en a pas mal parlé depuis une semaine dans les médias ! Cette fameuse charge mentale dont toute femme ressent un jour ou l’autre tout le poids sur ses épaules… Vous savez ! Ce sentiment de devoir penser à tout, tout le temps. De devoir tout prévoir, en toutes circonstances. Au prix de devoir tenir des listes sans fin de taches à accomplir. Parce que les sujets à lister, il y en a vraiment de tous les genres n’est-ce pas ? Du «qu’est-ce qu’on mange ce soir pour souper?» au pantalon d’éducation physique de fiston qui présente des trous sur les genoux… Et qu’il faudra forcément remplacer, l’année scolaire…
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Et mon weekend, bordel ?
Suis-je donc la seule qui ait cette impression de courir sans fin après mon temps comme une noyée qui cherche son air ? Chaque weekend, devant l’agenda de ma famille qui menace l’explosion chaque fois que nous vient à l’esprit l’idée d’ajouter quelque chose à la déjà très longue liste d’activités prévues à l’horaire, je me dis que ce n’est qu’un moment à passer. Que bientôt, tout rentrera dans l’ordre. Et, je tente alors de calmer cette angoisse qui monte en moi en cherchant à me convaincre que bientôt, très bientôt, nous pourrons enfin passer un petit weekend, bien peinards à la maison. Vous savez ! Du genre qu’on passe…
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L’amour pour toujours, et si on se trompe, Ciao Babe !
Hier, je suis tombée sur un article un peu troublant. Tellement que je me suis empressée de le partager sur la page Facebook des Chroniques d’une cinglée. Et à voir le nombre de réactions qu’il a suscité, je suis forcée de constater aujourd’hui que je suis bien loin d’être la seule qui s’en soit trouvée un peu perturbée… Ainsi, dans cet article trouvé sur le site internet du journal Suisse Le Temps, on parle du fait que de nos jours, l’amour, le vrai, celui ultra-parfait des comédies romantiques dont l’idée, j’en ai l’impression, nous a probablement un peu tous et toutes été transfusée par intraveineuse à notre naissance, ne nous…
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De la banalité d’un quotidien qui se répand sur le plancher
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai parfois cette impression qu’il y a des périodes – des semaines, des mois – au cours desquels partout ou l’on tourne les yeux, c’est le même message qui semble nous être renvoyé sans fin. Un peu comme une intention concertée de l’univers de nous confronter à un élément sur lequel autrement, nous détournerions le regard. Aussi, ces temps-ci, je m’avoue consternée devant ce fait que partout où je pose les yeux, ce sont des histoires de violence conjugale qui semblent m’être renvoyées de façon presque mathématique. Par exemple, en début de semaine, dans le cadre de mon travail, je visionnais un film français, «L’emprise»…
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Quelques digressions et autres considérations sur le droit d’auteur
Depuis le début de cette année, comme vous le savez, je parle de façon hebdomadaire, chaque lundi, d’un sujet lié aux coulisses de mon blogue. Et, un peu comme un effet parallèle, le processus m’a amenée à réfléchir à ce blogue, à ce que j’avais envie d’en faire. Mais surtout, à une certaine réflexion sur le «jusqu’où» je suis vraiment prête à mettre l’entièreté de mes écrits ici. Parce que c’est un fait que dès qu’on écrit le moindrement avec le but, même plus ou moins inavoué, de voir éventuellement ses écrits publiés, il reste que demeure toujours, de façon un peu souterraine mais néanmoins présente, cette crainte de se…
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Se la jouer Scarlett
J’ai toujours été fascinée de constater à quel point les enfants ont cette facilité de se faire des amis! Avez-vous remarqué ? Il suffit en effet que l’un d’eux se rende dans un parc pour qu’une dizaine d’autres enfants débarquent. Tous prêts à venir jouer. Et surtout, sans se poser la moindre question. Le même phénomène se remarque un peu, je dirais, jusqu’à l’université où pour la plupart, il nous faut presque faire des efforts pour ne pas se lier d’amitié avec de nouvelles personnes. Un cours en commun, l’ami d’un ami sur qui on tombe par hasard, un café ramassé dans une machine distributrice (ça c’est avant qu’on ait…