
(Dé)connecter pour reconnecter

Avez-vous remarqué à quel point c’est lorsque nous sommes en congé que la folie de nos vie nous est comme révélée dans toute sa splendeur?
Parce que nous réalisons alors que…c’est difficile de s’arrêter et d’accepter de ne rien faire. Ou encore, qu’on réalise à quel point nous pouvons devenir déconnecté de ce rythme naturel qui est le nôtre.
Ce matin, en faisant le ménage de ces articles intéressants que je mets au fur et à mesure dans mes favoris, histoire de revenir en parler dans un billet, un de ces quatre matins, je suis tombée sur cet article du Figaro qui m’avait fait réfléchir, lorsque je l’ai lu la première fois. Parce qu’il affirme qu’il ne suffit pas de se libérer de la folie du quotidien pour avoir cette impression de se remettre à niveau.
Il faut également se libérer du virtuel.
Car il est indéniable que les écrans, quels qu’ils soient, prennent aujourd’hui une place inimaginable dans nos vies, vous ne trouvez-pas ? On s’ennuie ? Hop, nous nous jetons immédiatement sur nos courriels. Ou encore, nous nous nous empressons de vérifier si nous n’aurions pas manqué quelques choses sur Twitter ou dans les médias, ce collectif de mauvaises nouvelles en tous genres…
Déconnecter pour reconnecter ? Une belle façon sans doute de renouer avec l’intimité, cette valeur qui de nous jours, semble ne plus en avoir…
Sans aucun doute !
Mais soit-dit en passant, que cela ne vous empêche surtout pas de vous sentir les bienvenus dans mon salon 😉
Et cela, quand le cœur vous le dit !

