Les plaisirs hivernaux ne sont pas toujours ceux que l’on pense…
Trouvez-vous comme moi que janvier, avec ses gros flocons, donne envie de se blottir confortablement dans sa doudou avec un bon livre ? Ou d’aller voir un bon film au cinéma ?
Moi si !

Vous connaissez ?
Il s’agit en fait du premier tome de ce qui est prévu comme une trilogie dans laquelle on retrouve cinq famille, Russe, Allemande, Américaine, Galloise et anglaise, dont les destins se croisent au début 1900 et ce, en passant par la Révolution Russe jusqu’à la fin de la première guerre mondiale. Je suis personnellement fascinée par le talent de conteur de Ken Follett qui réussit, une fois encore, l’exploit de faire évoluer des dizaines (sinon des centaines !) de personnages et ce, de façon tout à fait crédible ! Et comme le livre regorge de détails historiques, nous ne pouvons qu’être éblouit par la qualité du portrait que l’auteur brosse de ce début de siècle ou se côtoient lutte des femmes pour le droit de vote, destin de petites gens versus celui de la noblesse qui comme on le sait, connut alors la fin de son apogée dans plusieurs pays, dont la Russie et l’Autriche notamment, et chute des monarchies.
J’arrive presque à la fin de ce livre et j’ai déjà cette impression de manque pour la suite qui devrait couvrir la période de 1933 à 1949, avec la crise économique de 1929 et la seconde guerre mondiale, pour la deuxième génération de ces familles. Et qui ne sortira… qu’en 2012!
Mais comme il n’y a pas de hasard, je suis allée voir ce – magnifique – film

Vraiment un magnifique film d’ou je suis ressortie, inspirée !
Comme quoi, les plaisirs hivernaux ne sont pas toujours ceux que l’on pense 😉