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Camille Claudel 1915: Regard sur la folie

Juliette Binoche, «Camille Claudel 1915 », photo tirée du Figaro

J’adore le cinéma !

Et pourtant, c’est rare que j’aborde le sujet ici.

Mais voilà que ce matin, en lisant ma Presse,  je suis tombée sur un article parlant de la sortie prochaine,  vendredi, (ici au Québec) de ce film portant sur une journée dans la vie de Camille Claudel.

Alors qu’elle était internée depuis 1913. Et ou elle mourru dans l’oubli le plus total… trente ans plus tard.

Sachant que ce film est déjà sorti depuis un bon moment en France, inutile de dire que je suis vraiment impatiente de me glisser sur un banc, dans la noirceur d’un cinéma, pour me plonger dans cet univers qui ne peut faire autrement que de me faire penser à mon arrière-arrière-grand-père, Édouard, qui lui aussi, est décédé dans un asile, en octobre 1918.

Fou aux yeux de la société.

Alors que sa seule «folie » fut probablement d’être atteint d’épilepsie…

Vous avez vu ce film ? N’hésitez pas à venir en parler dans la section commentaires !

Histoire de me rendre encore plus impatiente !!

2 commentaires

  • http://chaourcinette.blogspot.fr/

    Je voudrais enlever la carapace que chacun de nous se confectionne , le poids qu’on met autour de nos os de peur d’affronter le monde….

    Ça me fait penser à un passage du film Camille CLAUDEL, lorsque le petit Robert, fils du médecin voisin de Camille, qui avait assisté à la livraison d’un grand bloc de marbre chez Camille CLAUDEL lui demande après avoir observé la sculpture fraîchement terminée L’âge mûr :

    « Comment tu savais qu’il y avait des gens à l’intérieur du gros caillou blanc ? »

    • Marie

      J’adore cette citation !! Et toujours impatiente de voir le film pour lequel je n’ai pas trouvé le temps ce weekend ! Qu’à cela ne tienne ! J’irai un soir après le boulot !

      Marie

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