famille
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Magie vous avez dit ?
Il neige, il neige, ce matin sur Montréal ! Et oui ! Ça y est ! Il est effectivement fini le déni n’est-ce pas ? Car avec une bonne petite bordée en train de nous tomber dessus, un -20 degrés prévu jeudi, un -25 vendredi, et une autre bordée qui nous attend samedi prochain, il semble bien que cette année, c’est un Noël vraisemblablement digne d’une carte postale qui nous attend ! Froid en prime! Le symbole ultime, j’imagine, de la magie pour quiconque n’a jamais connu la neige ! Mais pas mal moins féerique – je vous en passe un papier! – pour tous ceux qui comme moi, habitent…
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Les bienfaits du calendrier de l’Avent… presque de la magie!
Je ne sais pas pour vous mais de mon côté, une fois le cap du 1er décembre passé, j’ai comme soudainement ce sentiment que Noël est à nos porte. Et avec lui, cette évidence que c’est sur les genoux que j’arriverai à ce fameux Jour J! Toutefois, un plaisir chaque fois renouvelé je pense, c’est celui du calendrier de l’Avent. Un plaisir qui, selon les psychologues, aurait bien plus de bénéfices que nous aurions pu l’imaginer ! Mais, en ce qui me concerne, ce n’est pas tout à fait les raisons auxquelles vous auriez pu vous-même imaginer. Dans le genre «magie», «festivités»… Et toutes ces fadaises qu’on raconte chaque année aux…
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Être un bon parent, n’est-ce pas la dernière légende urbaine en vogue ?
Être un bon parent, n’est-ce pas la dernière légende urbaine en vogue ? Carrément un mythe? Je me le demande ! La Presse publiait hier un article dans lequel on racontait que selon un portrait inédit des conditions de vie des enfants québécois dévoilé par l’Observatoire des tout-petits, rien de moins que la moitié des enfants de moins de 6 ans auraient déjà été victimes de violence à la maison… Des chiffres qui, avouons-le, ont littéralement de quoi nous faire frémir n’est-ce pas? Et dans lesquels on parle de la violence tant physique que des agressions psychologiques répétées. Un article qui, je l’avoue aussi d’emblée, un peu comme le sablier infernal…
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L’automne, la rentrée et le retour de la folie du quotidien ou l’éternel combat
Je ne sais pas ce qui s’est produit ces derniers jours mais tout d’un coup, j’ai comme ce sentiment inexplicable que l’air autour de moi se soit comme raréfié. Alors que la semaine dernière, dans la canicule de l’été, je me suis fait cette réflexion que rentrée, pas rentrée, l’été caniculaire n’avait pas dit son dernier mot, j’ai comme le sentiment tout d’un coup que la lenteur estivale n’est décidément plus qu’un souvenir… Tout d’un coup, le sac d’école rempli à ras bord de mon fils, les agendas qui se remplissent, tant à la maison qu’au boulot, les tâches qu’on exécute jamais assez rapidement… Et tient donc, cette rencontre de…
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Laisser aller
C’est difficile n’est-ce pas de laisser voler nos enfants de leurs propres ailes? Cela en sachant très bien qu’ils tomberont parfois. Parce que la vie est ainsi faite n’est-ce pas que nous tombons tous un jour ou l’autre. Espérant leur avoir transmis tout ce qu’il leur faut pour se relever chaque fois. Mais craignant que ce ne soit pas encore le cas. Ou pas assez… Parfois, en regardant mon garçon qui aura déjà dix ans la semaine prochaine, je réalise à quel point je suis mère poule. Et à quel point surtout, j’ai de la difficulté à le laisser prendre de l’autonomie.
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Messieurs ! Et si le bonheur était dans le fer à repasser?
Stressées nous les femmes ? Jamais de la vie, n’est-ce pas! Car clairement, entre le boulot, les courses, les repas à prévoir, cuisiner, puis réchauffer, nos enfants à éduquer, nos parents à soutenir, les amis à fréquenter et toutes ces tâches en «ages» qui s’additionnent (lavage, repassage, époussetage, balayage, etc), il nous faudrait être de très mauvaise foi sans doute pour oser nous plaindre! Et oui! On appelle cela de l’ironie ! Je ne vous dis donc pas mon immense surprise lorsque hier, je suis tombée sur cette nouvelle qui racontait qu’une étude réalisée par la Firme Léger avait conclut que nous, québécois, étions plus stressés que jamais.
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La semaine des quatre jeudis
La procrastination. Maudite maladie que celle-là n’est-ce pas ? N’empêche, j’ai envie de croire – ou de faire du déni, diront les mauvaises langues! – que c’est l’arrivée de l’été qui, ces temps-ci, fait en sorte que je ne peux m’empêcher d’avoir envie de sombrer dans une certaine lenteur. Un peu comme celle suggérée par la célèbre oeuvre de Dali dans laquelle celui-ci a justement choisi de représenter des montres molles, symbole du temps qui ralenti et s’allongeeeeeeeeeeeeeeeeee… Vous savez ? À l’image de guimauves bien fondantes sur un feu de camp! Écrire mon livre? Demain, promis !
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A(mère)tume et douces chi(mères)
Ces temps-ci, je l’avoue, je me sens un peu dépassée par le flot du quotidien. Mais surtout, par les demandes incessantes de l’univers ! Car même si le fait que ma mère soit entrée en résidence a eu pour effet de m’enlever incontestablement un peu de poids sur les épaules, j’ai l’impression n’avoir jamais ressenti de ma vie autant de pression pour répondre aux besoins de tout un chacun ! Littéralement écrasée sous le poids des responsabilités. Et cela, alors qu’à la veille de célébrer mes 46 ans (est-ce qu’on parle de célébrer, rendu là?), je n’ai jamais eu autant envie de m’exiler sur une île déserte, loin du chaos…
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Lettre d’outre-tombe
Mai, ça rime toujours un peu avec la fête des mères. Une fête qui, si elle a eu lieu le 10 mai dernier en Suisse, en Belgique, en Espagne, au Danemark, aux États-Unis ainsi qu’ici au Québec, ne sera sera célébrée en France que ce dimanche 31 mai. Si les traditionnelles fleurs ou encore, le repas au restaurant, sont toujours de mise pour célébrer sa maman, il n’est bien sur jamais interdit d’innover n’est-ce pas ? Voilà que ce matin, je suis tombée sur cet article de Slate dans lequel on proposait une idée qui avait tout me plaire ! Soit cette invitation lancée à toutes les mères de ce…
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L’amour au temps de la Saint-Valentin
Le sujet du jour, partout, tant sur les blogues que dans les médias, ce sera sans aucun doute la Saint-Valentin n’est-ce pas? Le genre de fête que l’on adore, ou que l’on déteste. Ou que l’on adore détester ! Pourquoi pas ! C’est selon ! Un peu comme si à ce chapitre, l’indifférence n’était pas une option ! En ce qui me concerne, il n’y a rien que je trouve plus anti-romantique que de me ruer le 14 février dans un restaurant bondé proposant un menu pré-formaté, supposément pensé pour mettre en appétit les amoureux … Je ne sais pas pour vous! Mais en ce qui me concerne, ça ne…