La beauté des petites choses sans importance
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Parfois, nous n’avons pas idée de l’impact qu’un mot ou une action de gentillesse peut avoir sur la personne à qui on le destine…
Hier, j’ai reçu un courriel d’une vieille amie qui le plus simplement du monde, m’a dit…que je l’inspirais ! S’excusant presque au passage de se montrer ainsi gentille ! Un peu comme si cela avait été un signe de faiblesse de sa part…
Ce petit moment tout banal me trotte dans la tête depuis… D’une part parce que je me dis que visiblement, elle ne sait pas à quel point cela m’a semblé à moi un peu comme une belle preuve d’amitié. Ou plus simplement, une sympathique tape dans le dos qui a illuminée ma journée.
Merci Val 😉
Mais aussi, parce que je réalise à quel point la gentillesse de nos jours, dans notre monde hyper-individualiste, pourrait quasiment être perçu comme un luxe…
Et puis, je suis tombée sur cet article du magazine Psychologie dans lequel on parle de la gentillesse comme étant rien de moins qu’un nouveau courage… Ou encore, comme une nouvelle noblesse…
«C’est un pari. Sur nous-même, sur autrui, sur l’avenir. Dans un monde brutal où la tendresse n’est pas toujours de mise, s’ouvrir à l’autre et accepter le risque qu’il profite de nous, c’est faire preuve de bravoure». (Psychologie magazine)
Pourquoi je vous parle de cela ce matin ? Parce que le 13 novembre prochain (ce dimanche donc !), ce sera la Journée de la gentillesse 2011. Un événement inauguré justement par le magazine Psychologie il y a trois ans, avec un immense succès public et médiatique et qui ne se dément pas depuis.
Pourquoi ? Parce qu’on le sait, la gentillesse engendre la gentillesse. Parce que venir en aide aux autres, c’est s’aider soi-même. Et qu’en plus, elle est un bon moyen de lutter contre la dépression.
Pourquoi se priver alors ? Je vous le demande !
Et vous, qu’allez-vous faire le 13 novembre prochain ? Pour qui ? Pourquoi ? Comment ?
Dites nous tout ! Question de nous inspirer aussi 😉