Là ou on plonge
Je suis excitée !
Pourquoi ?
Parce que demain, journée de l’Armistice, j’aurai congé et que depuis un mois, je fantasme devant cette idée que cette journée me sera toute entière consacrée à écrire ! Pour de vrai cette fois ci ! Mon mari n’ayant pas accès à ce congé férié dans son entreprise. Et mon fils étant à l’école pour la journée, je pourrai ainsi…me jeter à l’eau !
Car bien que je ne vous parle pas beaucoup de mon livre ces temps ci, le projet n’en continue pas moins de mijoter dans ma tête. Au point qu’une évidence m’est apparue, soit que j’avais bien trop de choses à dire pour un seul livre ! L’histoire de mes deux lignées familiales étant si lourde en effet que de tout mettre en un seul livre ne pourrait faire autrement que de compliquer inutilement la trame de mon histoire (qui l’est déjà bien assez vous ne pensez pas ?) Une lourdeur qui au final, ne peut faire autrement que de paralyser mon élan…
Et puis, j’ai un peu ce sentiment que de tenter d’aligner tous ces événements pour qu’ils prennent du sens, c’est un peu comme de se retrouver devant un immense sac à «surprises». Qui frôlerait l’explosion après avoir été rempli plus qu’à pleine capacité d’éléments disparates au fil des années… Imaginez le scénario ! Un sac devant lequel on ne peut faire autrement que de réaliser que peu importe le bout sur lequel on va tirer, c’est l’explosion que l’on risque à coup sur ! Au point que parfois, j’ai la frousse qu’il y en ait partout sur les murs ! Bon ! J’avoue que j’exagère un peu mais vous aurez compris le principe je l’imagine 😉
Ainsi, j’en suis venue à l’évidence que je devais commencer par écrire l’histoire de mon père. J’en connais déjà le titre. Puis la fin. Puis la trame. Ce qui me semble déjà un bon début !
À condition bien sur que je me mette à l’écrire 😉
Alors voilà, c’est ainsi que je me mettrai à cette tâche d’écrire ce qui deviendra «L’homme nu».
Par moi.
2 commentaires
Anonymous
Tu as le titre ? alors le premier pas est fait. Je te dis le mot de Cambronne pour demain et les autres jours qui suivront.
Lorsque tu commenceras à écrire ton histoire familiale, ne sois pas surprise que les mots se bousculent à la sortie… Je le sais puisque j'ai déjà commis un livre (un collectif.)
Parfois lorsqu'on commence à écrire on ne veut plus s'arrêter tant l'inspiration est présente. Je te le souhaite.
Marjo
MARIE
Un gros merci à toi Marjo pour cette pensée 🙂
Marie