La quête du bonheur
Le bonheur, tout le monde le cherche n’est-ce pas ?
D’ailleurs, signe des temps, les tablettes des libraires débordent de livres nous promettant d’enfin atteindre ce qui pourrait parfois ressembler à un idéal aussi inatteignable que le Saint-Gräal…
Mais voici que je suis tombée sur un entretien qu’à donné l’auteur Bertrand Vergely au site Internet du Magazine Est Républicain dans lequel il parle ainsi…
«La tristesse c’est une facilité, c’est une tentation. Le propre de la bonne humeur, c’est de décider de ne pas être triste. C’est une révolte, une révolution contre l’état d’esprit morose. C’est un refus d’un laisser-aller. Ce ne sont pas les gens furieux et en colère qui ont bousculé les choses. Le bonheur est extrêmement révolutionnaire, la tristesse est, quant à elle, réactionnaire, conservatrice, qui ne produit rien. Le bonheur fait voir des possibilités que la tristesse ne fait pas voir. D’une certaine manière on peut dire « vive la pensée positive ». Le bonheur demande de lutter à un moment contre ses idées noires et ses penchants morbides. Quand on a cette mentalité-là, on est toujours heureux. Il faut cultiver un certain regard, avoir une lucidité sur l’existence. Dès qu’on change de regard sur les choses les choses changent.» (- Bertrand Vergely)
Bon vendredi 😉
Et surtout, bon congé à ceux qui comme moi, partirons en congés pour la relâche scolaire des enfants !
2 commentaires
Anonymous
Profites-bien du congé scolaire, Marie.
Un peu de lecture, peut-être… ? Zola s'apporte si bien en vacances.
Marjo
MARIE
Merci Marjo 😉 Malheureusement, je n'ira pas bien loin car le papa n'a pas congé lui ! Mais effectivement, en plus de cuisiner biscuits avec mon fils, des promenades pour donner à manger au canards et de quelques séances de cinéma d'animation, il y aura sans aucun doute de petits moments de lecture ! Le bonheur je disais ?
Marie 😉