Parce que tout à forcément une fin
Est-ce la faute de l’été ? Le fait que la lenteur estivale nous permette de nous arrêter pour penser ?
Je ne sais trop.
Mais l’idée s’est lentement frayée un chemin dans mon esprit… jusqu’à sembler s’incruster au point de prendre des airs d’indélogeable…
Oh ! Sans que probablement je ne m’en rende trop compte au départ bien sur!
Une idée plutôt floue et aux contours imprécis à l’origine. Mais de plus en plus, ce sentiment d’avoir de moins en moins d’inspiration…
De moins en moins l’impression d’avoir quoi que ce soit de neuf à dire sur quelque sujet que ce soit…
Et de moins en moins envie ?
Aussi !
Alors voilà!
C’est avec ce 1078e billet que j’ai le sentiment d’avoir fait le tour.
Et parce que, qu’on le veuille ou non, tout doit forcément avoir une fin, j’en profite pour dire un IMMENSE MERCI à chacun de vous qui avez été là pour me lire, à un moment ou à un autre, au cours des six dernières années.
Merci à Charlotte, Delphine, Yasmine, Hervé, Estelle, Marjo, Julie, Jane, Eléonora, Morgane, Carla… Et aussi, à tous ceux et celles dont bien malgré moi j’oublies les noms !
Comme je l’avais écrit dans mon album de finissante au secondaire en 1987 – (j’ai l’impression parfois que c’était il y a un siècle !)
«Quant on ne sait pas où on s’en va, on risque de se retrouver ailleurs»!.
Alors, on se dit à bientôt ? Ailleurs ?
Et pourquoi pas !