réflexion

Perdre pour gagner

Crédit: Photo-libre.fr
Et si la vie, c’était un peu comme lorsqu’on s’entraîne ?
Les muscles, soumis à l’effort se déchirent en quelques sortes, mettant par la suite environ vingt-quatre heures à se refaire pour ainsi cicatriser…

Devenant ainsi plus forts.

Et si c’était là le cadeau que nous devions nous faire à nous même ? Accepter que ce qui nous brise parfois, puisse paradoxalement être ce qui nous rendra plus fort…

4 commentaires

  • Carina

    Excellent parallèle Marie! J'abonde en ce sens! Le corps n'est-il pas la plus complexe des machines qui soit?

    Toutefois, notre corps nous rappelle parfois ses limites, ne faut-il pas l'écouter? Accepter les limites que la vie nous octroie peut nous sauver à bien des égards. Si nous nous blessons sans arrêts, si nous persistons à nous pousser toujours davantage alors que nous sommes fatiguées et au seuil de la maladie, notre corps n'aura plus la capacité à se régénérer. C'est la même chose avec les expériences et les apprentissages de la vie. Plus nous sommes confrontés aux revers que la vie nous envoie, plus notre capacité à leurs faire face s’accroîtra. Toutefois, tout comme notre corps, notre âme doit avoir ses limites à être meurtrie, dévastée, déchirée, écrasée. Vint un jour où même la mort ne peut la soulager.

    Bon billet Marie, Merci! 🙂

    • MARIE

      Comme toi Carina, je pense qu'il faut prendre des leçons de ce que la vie nous envoie. Sans quoi, nous ne ferions que répéter à l'infini les mêmes erreurs, nous fracassant sans cesse au même mur n'est-ce pas ? C'est en ce sens je crois que les échecs et les mauvaises expériences peuvent nous aider à grandir et à devenir plus fort. En nous apprenant à écouter notre petite voix, notre corps mais surtout, tout ce que l'expérience nous aura appris… Se frapper sans cesse aux mêmes limites ou aux mêmes revers serait peut-être le signe, je pense, qu'on ne se connaît pas suffisamment ou bien, qu'on ne s'aime pas assez soi même pour se « ménager » ? Peut-être est-ce que je fais fausse route mais c'est ce que le parallèle avec la capacité des muscles de se régénérer m'avait inspiré.

      Qui serait assez fou pour chercher volontairement les épreuves ? Personne sans doute. Sauf que la vie y pourvoit pour nous en nous envoyant (parfois généreusement !!!) certaines choses à vivre et c'est bien sur de ces épreuves là dont je parlais. Celles que nous n'avons que le choix de subir. Ou de les affronter et de passer à travers.

      Mais j'avoue que le parallèle n'est pas banal et qu'il est normal qu'il nous questionne !

      Une bonne journée à toi Carina !!

      Marie

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