Rien ne s’oppose à la nuit, Delphine De Vigan
« Ma mère était bleue, d’un bleu pâle mêlé de cendres, les mains étrangement plus foncées que le visage, lorsque je l’ai trouvée chez elle, ce matin de janvier. Les mains comme tachées d’encre, au pli des phalanges. Ma mère était morte depuis plusieurs jours. » (Dephine De Vigan, « Rien ne s’oppose à la nuit »)
L’auteure a vu comme une évidence cette nécessité d’écrire sur sa mère après que celle-ci se soit suicidée en 2008… Un livre qui on le devine, risque d’être plus que touchant…
Je vous en reparlerai !