Se diriger vers ses 50 ans, peut-être pas si tragique finalement !
Photo: IStock |
Bon, je sais ! Ce blogue tout entier est parti de cette crise de la quarantaine qui m’est tombée dessus avec la délicatesse d’un camion de quarante tonnes…il y aura bientôt trois ans. Et voilà que dans ce titre, je vous parle de la cinquantaine !
Non mais vraiment ! «On se calme le ponpon», avez-vous envie de dire !
Mais voilà, je sais d’une part que pour certaines d’entre vous, la quarantaine est décidément dans le rétroviseur, et la cinquantaine bien entamée. Et puis ? Bien sur, avec cette évidence que d’ici quelques jours, avec un nouvel anniversaire à me farcir (je n’ai pas trouvé le moyen de ralentir le processus !), je suis forcée de me rendre à l’évidence que la cinquantaine, je m’y dirige moi aussi.
Lentement mais surement !
Et voilà que je suis tombée sur cet article du Magazine Châtelaine dans lequel on parle justement du fait que la cinquantaine, c’est bien différent aujourd’hui de ce que c’était il y a dix ou quinze ans seulement. Et bien sur, on y parle des Québécoises mais je n’ai aucun doute que certaines tendances sont communes, peu importe que nous soyons Québécoises, Françaises, Allemandes… Ou d’ailleurs.
« Il y a 25 ans, c’étaient la famille et les obligations sociales qui définissaient leur vie, explique le président, Alain Giguère (maison de sondage, CROP). Aujourd’hui, tout part d’elles-mêmes. Elles sont ce qu’elles veulent être et ce qu’elles sentent qu’elles sont. » (Châtelaine, «J’ai 50 ans, et alors ?»)
Un bel article qui réconforte face à cette idée de vieillir, c’est toujours bon à prendre non ? Et personnellement, il me semble que j’appréhende bien moins la venue de la cinquantaine que la quarantaine lorsqu’elle a frappé à ma porte !
Réjouissant !