Secrets de famille et fonds de tiroirs
Ce n’est pas d’hier que je me passionne pour l’histoire, celle avec un grand «H» tout autant que l’autre, que l’on n’hésite pas à qualifier de minuscule. Comme si pas conséquent, elle se devait d’être banale…
Hasard ? J’ai toujours été fascinée par les années vingts, comme si inconsciemment, j’avais su que c’était là qu’il me fallait chercher dans ce vieux coffre aux trésors des secrets de famille dont regorge ma tribu… N’hésitant d’ailleurs pas à m’inscrire à des cours de Charleston il y a quelques semaines (mais ça, c’est une autre histoire que je vous raconterai bien un jour !)
Bref, ce serait sans aucun doute un euphémisme que de dire que c’est avec curiosité (et avidité) que je me jette sur tout article dans lequel peuvent être relatées ces histoires, bien souvent hors du commun, qui habitent les tiroirs ou bien les greniers des autres!
Parce que quelque part, je l’imagine, cela me semble rassurant. Parce que des secrets de famille, bien sur et fort heureusement, je n’ai pas le monopole !
Ainsi, j’ai été fascinée ce dimanche alors qu’en lisant mon journal, je suis tombée sur cet article de La Presse dans lequel on raconte une bien étrange histoire. Celle d’une vieille maison construite pour la famille d’un riche Docteur américain, Charles Camac et son épouse, Julia Metcalfe, qui venait passer ses été dans la magnifique région de Charlevoix à la fin du XIXe siècle, en compagnie de leurs deux filles, Eva et Harriet. Une maison dont les secrets ont été cachés des regards jusqu’à ce qu’en 2012, des québécois, Maryse Côté et son conjoint, décident d’en faire l’acquisition et se prennent dans les filets de cette histoire de famille hors de l’ordinaire.
Cachée depuis tout ce temps dans huit grosses boîtes pleines de photos, d’albums et de livres… Et qui allait les mener dans une aventure d’une ampleur qu’ils n’auraient jamais pu soupçonner jusque là !
Mais que je vous laisse lire cet article dont j’aurais peine à rapporter tous les détails de l’histoire de cette fascinante famille qui y a vécu !
C’est ainsi que Maryse Côté est partie sur la trace de cette famille, à la recherche d’éventuels descendants à qui remettre ce trésor. Ses pérégrinations la menant tant en Californie qu’en Australie et en Angleterre, c’est ainsi qu’elle s’est liée avec l’un des descendants, un californien qui – hasard? – est également historien.
Étrangement, un peu comme si la maison avait décidé qu’elle en avait suffisamment révélé – au moment ou Maryse Côté et son conjoint avaient justement décidé d’y emménager cet été, la maison a tiré sa révérence, brûlant complètement dans un incendie dont les causes sont inconnues pour les moment.
On a d’ailleurs évoqué cet incendie dans le journal local dont vous trouverez le lien tout juste ici.
Et vous, vous en avez de ces histoires de familles qui refont un jour surface au moment ou vous vous y attendiez le moins ?
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Bien que je revienne tout juste à la surface de la terre «bloguesque», j’ai clairement la tête qui bourdonne d’idées pour ce blogue !
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D’ici les prochaines semaines, je réserverai quelques surprises à ceux d’entre vous qui figureront sur ma liste d’envoi 😉
On se dit à bientôt alors ?