Vérité et solitude
« Si les écrivains sont des êtres fragiles, Marcus, c’est parce qu’ils peuvent connaître deux sortes de peines sentimentales, soit deux fois plus que les êtres humains normaux: les chagrins d’amour et les chagrins de livre. Écrire un livre, c’est comme aimer quelqu’un: ça peut devenir très douloureux »
(- « La vérité sur l’Affaire Harry Quebert« , Joël Dicker, p. 133)